Le 17 février, les parties se sont rencontrées pour la deuxième fois en présence du conciliateur nommé par le ministère du Travail. ƽ岻 a présenté au Syndicat la traduction française de huit articles sur lesquels les parties se sont entendues lors de réunions précédentes, et le Syndicat les vérifiera prochainement. Les parties travailleront ensemble dans le but de les finaliser à la prochaine réunion.
Le 7 février, le ministère québécois du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale a accepté la demande d’AMURE de désigner un arbitre pour superviser les négociations. Si d’ici le 17 février prochain AMURE et ƽ岻 ne parviennent pas à s’entendre sur le choix d’un arbitre, le Ministre en désignera un. L’arbitre est un participant neutre qui a pour mandat d’aider les parties à trouver un terrain d’entente. Si l’arbitre conclut qu’un terrain d’entente ne peut être identifié, elle/il a le pouvoir juridique d’imposer une décision sur tout point de mésentente non résolu.
Le 9 février, suite au dépôt d’une demande d’injonction par AMUSE / Surveillants d’étage, ƽ岻 et le Syndicat ont comparu en Cour supérieure du Québec. L’injonction, tel que demandé par AMUSE / Surveillants d’étage, aurait exigé que ƽ岻 commence immédiatement à payer un taux horaire aux Surveillants d’étage en plus de la chambre et des repas qu’ils reçoivent gratuitement. Cette demande a été refusée par la Cour. Une nouvelle date d’audition a été fixée au 5 mai 2017 pour évaluer le dossier au mérite.
Le 6 février, les représentants du Syndicat et de ƽ岻 se sont rencontrés en présence de l’arbitre nommé par le Ministre du travail afin d’établir leur position et discuter des prochaines étapes de la négociation d’une première convention collective. Cette rencontre fait suite à la décision de ƽ岻 de ne pas entériner une entente qui comprend la gratuité de la chambre et des repas et le paiement d’un salaire pour le travail effectué.
Le 30 janvier, le Syndicat des employés occasionnels de l’Université ƽ岻 (AMUSE/employés occasionnels)/Alliance de la fonction publique du Canada (AFPC) et l’Université ƽ岻 ont signé une nouvelle convention collective. Cette deuxième convention collective avec cette unité sera d’une durée de quarante mois et sa date d’échéance est le 31 mai 2020.
Les représentants du Syndicat et de l’Université se sont rencontrés le 19 décembre 2016.
Faisant suite aux réunions précédentes, l’Université a soumis le texte de plusieurs propositions relativement aux sujets suivants : harcèlement, harcèlement sexuel et discrimination, santé et sécurité, accidents du travail, affichage, nominations & renouvellements et période de probation.
Les parties se sont entendues et ont ratifié les textes des articles concernant les accidents de travail et le harcèlement, harcèlement sexuel et la discrimination.
Les parties se sont rencontrées les 4 et 11 novembre derniers. Elles ont partagé leurs objectifs et leurs contraintes en ce qui a trait aux mécanismes d’affichage des postes d’associés de recherche, d’assistants de recherche et d’assistants de recherche occasionnels.
Les parties se sont rencontrées les 14, 15 et 25 novembre derniers en présence de l’arbitre nommé par le ministère du Travail. L’employeur a soumis au syndicat la version bilingue du texte portant sur la procédure de grief ainsi que de l’article portant sur la rédaction de la convention collective et sur lesquels les parties s’étaient entendues.
L’unité du Syndicat des employés de recherche de l’Université ƽ岻 (AMURE) représentant les chercheurs postdoctoraux et l’Université ƽ岻 se sont entendues sur tous les aspects d’une première convention collective. Les parties se sont entendues sur les derniers éléments lors d’une réunion qui s’est tenue le 25 novembre.
L’Université soumettra l’entente de principe à la haute direction de ƽ岻. Le syndicat et l’Université finaliseront ensuite le texte de l’entente et le syndicat le soumettra au vote de ses membres à une date qui sera communiquée ultérieurement.
Le Syndicat des employés occasionnels de l’Université ƽ岻 (AMUSE/employés occasionnels)/Alliance de la fonction publique du Canada (AFPC) et l’Université ƽ岻 se sont entendus sur tous les aspects d’une nouvelle convention collective.
Les parties se sont entendues sur les derniers éléments lors d’une réunion tenue plus tôt aujourd’hui en présence de la conciliatrice nommée par le ministère du Travail.
Les parties ont tenu une journée complète de discussions le 18 novembre dernier, en présence de la conciliatrice nommée par le ministère du Travail.
Elles ont discuté des dispositions non monétaires non résolues, ainsi que des dispositions monétaires. Les parties ont échangé plusieurs propositions et contre-propositions et des progrès ont été réalisés.
Les parties ont convenu de poursuivre leurs discussions le vendredi 25 novembre.
Cette mise à jour vise à informer la communauté au sujet des négociations en cours et a été validée par le syndicat.
Les parties se sont rencontrées le 7 novembre dernier et ont ratifié les articles sur lesquels elles s’étaient entendues à la réunion précédente. Ces articles représentent une portion importante de l’entente éventuelle. Les parties ont ensuite discuté des articles portant sur les griefs, sur les mesures disciplinaires et sur les avis de cessation d’assignation. Elles se sont entendues sur ces articles et les ont ratifiés. Quelques articles doivent encore être discutés.
La prochaine rencontre est prévue le 21 novembre prochain.
Les parties se sont rencontrées le 10 novembre en présence de la conciliatrice nommée par le ministère du Travail.
Tel que prévu, l’employeur a soumis une offre globale comprenant ses propositions au sujet de l’émission de cartes d’employé de ƽ岻 et du programme Travail-études, ainsi que sa proposition sur les divers aspects monétaires.
Les parties ont discuté de la proposition monétaire. Le syndicat a ensuite soumis une contre-proposition au sujet des aspects monétaires et du programme Travail-études.
Les parties se sont rencontrées le 2 novembre dernier en présence de l’arbitre nommé par le ministère du Travail. Elles se sont entendues et ont ratifié les articles relatifs à l’affichage et aux nominations ainsi qu’aux appréciations de rendement (performance dialogue).
L’employeur a soumis au syndicat et à l’arbitre une première ébauche de la convention collective qui comprend tous les articles sur lesquels les deux parties se sont entendues jusqu’à présent.
Les parties se sont rencontrées en présence de la conciliatrice le vendredi 28 octobre et ont poursuivi leurs échanges exploratoires au sujet de l’applicabilité de l’article portant sur l’affichage et l’octroi d’affectations en ce qui a trait aux affectations régies par des programmes d’aide financière, tels que le programme Travail-études.
Les discussions ont donné lieu à l’échange de plusieurs propositions de la part de chacune des parties. Les échanges n’ont cependant pas permis d’en venir à une entente à ce sujet.