Professors inducted into Royal Society of Canada
Congratulations to Jan Adamowski (Bioresource Engineering) and Elena Bennett (Natural Resource Sciences) on their induction into the Royal Society of Canada. The announcement was made in September, and the induction ceremony was held in late November.
CITATIONS:
ADAMOWSKI, Jan Franklin – Department of Bioresource Engineering, ƽÌØÎå²»ÖÐ
Jan Franklin Adamowski is an outstanding researcher with an exceptionally wide range of research contributions in the water resources field. He is engaged in pioneering research that integrates both engineering and social sciences, allowing him to be at the forefront of helping to address the pressing need for new approaches to support water resources decision making in the face of increasing challenges and uncertainties.
Jan Franklin Adamowski est un chercheur renommé ayant largement contribué à la recherche dans le domaine des ressources hydriques. Ses recherches innovantes, intégrant à la fois le génie et les sciences sociales, le placent en première ligne pour répondre aux besoins urgents de développement de nouvelles approches de soutien aux décideurs en matière de ressources hydriques, à une époque où les défis et les incertitudes augmentent.
BENNETT, Elena M. – Department of Natural Resource Sciences and ƽÌØÎå²»ÖÐ School of Environment, ƽÌØÎå²»ÖÐ
Elena Bennett is an ecologist studying how to maintain sustainable livelihoods and human wellbeing in agricultural landscapes. Her work has laid the theoretical, conceptual, and quantitative groundwork for ecosystem service science,
shifting the thinking from a focus on reducing human environmental impact to one that considers the long-term sustainability of multiple benefits across space and time.
Elena Bennett est une écologiste dont les recherches portent sur les façons de maintenir, en milieu agricole, des moyens de subsistance durables et le bien-être des populations humaines. Son travail est à l’origine des fondements théoriques, conceptuels et quantitatifs de la science des services écosystémiques. Il cherche à faire progresser un discours jusque-là centré sur la réduction des impacts environnementaux attribuables aux humains vers une vision à plus long terme, axée sur la viabilité des multiples bénéfices écosystémiques, tout en considérant leurs interactions à travers le temps et l’espace.