ƽÌØÎå²»ÖÐ

Les mois qui ont suivi le confinement ont été parmi les plus occupés pour plusieurs des équipes de la GISA engagées dans la gestion de la pandémie. Il y avait beaucoup à faire en vue de la réouverture progressive des bâtiments pour le redémarrage des activités de recherche, à compter de mai 2020, et pour préparer la reprise de certains cours en personne au trimestre d’automne.

La signalisation à elle seule a nécessité la participation de plusieurs équipes. Il fallait produire autocollants de distanciation pour le plancher, affiches d’occupation maximale pour les ascenseurs, les toilettes et d’autres espaces, signalisation directionnelle à sens unique pour les escaliers, affiches dirigeant les usagers vers les entrées et sorties désignées, sans parler des rappels sur le lavage des mains et autres mesures d'hygiène.

Les Services de conception et le Service d'imprimerie ont produit les affiches, la Prévention des incendies et le Service de sécurité ont fourni leur expertise pour désigner les points d’entrée et les voies de sortie et de circulation, et les équipes des Bâtiments et terrains et de la Gestion des installations du centre-ville et du campus Macdonald ont tous participé à leur installation.

Les équipes ont travaillé tout l’été afin d'aménager tous les bâtiments à temps pour le trimestre d’automne, se souvient Nakita Darveau, superviseure, Soutien aux activités spéciales, qui a participé à ce travail jusqu’à la reprise des événements sur le campus au début 2022. Travail qui a souvent dû être refait au fur et à mesure que les directives de santé publique évoluaient. « Nous avons dû refaire certaines enseignes, en ajouter, en enlever », explique-t-elle. « C’était difficile parce qu'on avait l’impression que les consignes changeaient beaucoup, mais en même temps il faut comprendre ce qu'on vivait. On vivait de l’inconnu. » 

D’autres employés du Soutien aux activités spéciales ont été redéployés dans les nouveaux points de livraison qui ont été mis en place à quelques endroits sur le campus du centre-ville pour centraliser les livraisons. Entre autres livraisons, ils recevaient toutes les commandes d’équipements de protection individuelle, tels que masques, gants et désinfectants, et les livraient aux laboratoires.  

Pendant ce temps, les Services de conception ont dû évaluer chaque salle de classe à ƽÌØÎå²»ÖÐ pour calculer les capacités maximales selon trois scénarios de distanciation possibles: 2 mètres, 1,5 mètre et 1 mètre.

« Pour soutenir la reprise des cours et des examens en personne, nous avons examiné entre 900 et 1 200 salles de classe pour déterminer combien de personnes pouvaient accueillir chaque classe, afin que le service de réservation centralisée [au Registrariat] puisse déterminer quelles salles de classe pourraient être utilisées », explique Cyril Cavalier, chef de la conception, Services de conception.

Page suivante (4e partie) : La santé et la sécurité d'abord

Page précédente (2e partie) : Faire face à l'inattendu