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Amélie Quesnel-Vallée est professeure à l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ. Elle est titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les politiques et les inégalités sociales de santé et a une double affectation aux facultés des arts (sociologie) et de médecine et des sciences de la santé (épidémiologie). Elle est la titulaire 2019-2020 de la Fulbright Canada Distinguished Chair in Quebec Studies, à la SUNY Plattsburgh. Elle est aussi la directrice fondatrice de l’Observatoire de ƽÌØÎå²»ÖÐ sur les réformes des services de santé et sociaux. Ses recherches portent sur la contribution des politiques aux inégalités sociales en matière de santé tout au long de la vie. Ses travaux de recherche ont été publiés dans des revues telles que The Lancet, l’International Journal of Epidemiology et Social Science & Medicine, et ont été récompensés par des prix d’associations professionnelles internationales, notamment l’American Sociological Association, la Population Association of America et l’American Public Health Association. Déterminée à mieux faire comprendre la science au grand public, elle est fréquemment invitée par les médias, la National Public Radio, le New York Times et Business Week. En 2014, elle a été élue présidente du Comité de recherche sur la sociologie de la santé de l’Association internationale de sociologie en reconnaissance de son leadership dans le domaine. Elle a siégé à plusieurs conseils consultatifs scientifiques, dont celui de Statistique Canada, et siège actuellement au conseil de direction (conseil d’administration) des Instituts de recherche e santé du Canada.

Arianne a un B.A. en relations internationales et développement et elle travaille en gestion de projets de subventions avec différentes universités et collèges depuis 2017. Elle a vécu au Chili durant trois ans où elle a travaillé au Centre for Astro-Engineering à la Pontificia Universidad Católica de Chile. Cette expérience a réaffirmé sa passion pour le travail dans l’enseignement supérieur avec les étudiants, les enseignants et le personnel, et l’a poussée à poursuivre sa carrière en tant que coordinatrice de projet. Elle aime voyager et découvrir de nouveaux endroits, que ce soit dans sa propre ville ou à l’étranger. Elle aime aussi les animaux et espère un jour avoir un cochon de compagnie.

Divine-Favour Chichenim OFILI est une professionnelle dans le domaine de la santé publique et une étudiante au doctorat à l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ. Titulaire d’un B. Sc. en santé publique (avec distinction) de l’Université de Calabar, au Nigeria et d’une M. Sc. en santé publique de l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ, elle a une bonne connaissance de la recherche en santé publique et des programmes. Elle se concentre sur l’amélioration de la santé des populations mal desservies, en particulier les populations migrantes et réfugiées, par la recherche, l’intervention communautaire et des politiques. Elle souhaite étudier l’impact des politiques canadiennes en matière d’immigration et de santé sur les réfugiés et les immigrants dans le cadre de sa thèse de doctorat. Son enthousiasme pour l’amélioration des processus l’a amenée à travailler dans le domaine de la coordination des programmes, où elle a géré des programmes de santé locaux et mondiaux, dont l’Alliance pour les maladies non-transmissibles en santé mondiale de ƽÌØÎå²»ÖÐ. Elle aime la bonne cuisine et les émissions culinaires.

Michaela est doctorante en sociologie à l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ, sous la direction de la professeure Amélie Quesnel-Vallée. Elle est entrée à ƽÌØÎå²»ÖÐ en tant qu’étudiante à la maîtrise en épidémiologie à l’automne 2019. Elle est également titulaire d’une maîtrise en politique sociale comparée de la University of Oxford et d’un B.A. (avec distinction) en politique, philosophie et sciences économiques de la University of Manchester. En recherche, elle s’intéresse à l’épidémiologie sociale, à l’évaluation des systèmes de santé, aux inégalités en matière de santé et à la politique de santé familiale, en utilisant une combinaison de méthodes de recherche qualitatives et quantitatives. Son projet le plus récent visait à quantifier les retombées positives de la présence d’un médecin dans la famille sur la santé d’une personne et à déterminer comment ces retombées diffèrent d’un pays à l’autre en fonction de la conception de la politique familiale. Michaela a grandi en Slovaquie et a fait ses études au Royaume-Uni. Pendant son temps libre, elle aime promener son chien teckel nain et s’occuper de ses plantes. Elle aime également s’asseoir avec un bon livre et ne refuserait jamais de discuter des Å“uvres de ses auteurs préférés – Milan Kundera et Chimamanda Ngozi Adichie.

Enkhuun Byambadorj effectue un baccalauréat spécialisé en développement international et en environnement à l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ. En recherche, elle s’intéresse à la qualité de l’air et à la santé ainsi qu’à l’utilisation des déterminants sociaux de la santé pour défendre les droits des migrants sans papiers en matière de santé. Ses travaux portent sur la politique de transformation du charbon en énergie propre de Pékin en relation avec le confort thermique et sur la capacité des migrants sans papiers à faire valoir leurs droits dans le cadre de la législation internationale sur les droits de la personne. Elle est aussi cofondatrice et responsable des opérations à la , une organisation à but non lucratif qui se consacre à l’éradication de la pollution de l’air en Mongolie par l’éducation, la collaboration entre les différentes parties prenantes et des politiques équitables et responsables.

Aimy Croner poursuit un baccalauréat en psychologie et une mineure en anthropologie à l'Université ƽÌØÎå²»ÖÐ. Ses intérêts de recherche portent sur l'amélioration des politiques de santé pour les immigrants au Canada, en se concentrant sur les questions liées à l'accessibilité et à la résolution des inégalités sociales en matière de santé à l'aide des déterminants sociaux de la santé. En tant qu'immigrante du Sri Lanka, elle espère offrir à ce domaine de recherche une nouvelle perspective grâce à son expérience immédiate avec le système de santé en tant que citoyenne étrangère surmontant les nombreux obstacles sociaux entourant les problèmes d'accessibilité dans les services canadiens, y compris les barrières linguistiques et culturelles. Pendant son temps libre, elle aime peindre et passer du temps avec sa famille. Elle est également une grande buveuse de café et aime perfectionner ses compétences en maquillage.

En recherche, Paul Holyoke, Ph. D., s’intéresse aux expériences des personnes avec le système de santé canadien; à l’évaluation des politiques, des programmes et des systèmes de soins de santé; à la gouvernance et à la gestion des organisations de soins de santé au Canada; et aux perspectives sociétales sur la santé, les soins de santé, la maladie et l’invalidité. Il a un doctorat en politique en santé de l’Université de Toronto, une M. Sc. (Écon.) de la London School of Economics, et un diplôme en droit de l’Université de Toronto. De 2005 à 2011, Paul a siégé pendant six ans au conseil d’administration du Waterloo-Wellington Local Health Integration Network, il a présidé son Community Council.

Sakeef M. Karim est candidat au doctorat au Département de sociologie de l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ, stagiaire au Centre de recherche sur la dynamique des populations de ƽÌØÎå²»ÖÐ, étudiant membre du Centre d’étude de la citoyenneté démocratique et chercheur boursier 2020-21 du CAnD3. Ses recherches s’articulent autour de trois axes : l’identification ethnique dans les sociétés d’immigration; la démocratie, le populisme et le nationalisme dans le monde contemporain; et la démographie sociale.

En tant que chercheur, il s’appuie sur diverses techniques quantitatives pour comprendre les phénomènes sociaux et politiques, des modèles de variables latentes jusqu’aux analyses de séquences sociales. Ses travaux sont subventionnés par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada, qui lui a attribué une bourse d’études supérieures Joseph-Armand-Bombardier – doctorat.

Zilin Li est chercheuse postdoctorale au Consortium on Analytics for Data-Driven Decision-Making de l'Université ƽÌØÎå²»ÖÐ. Elle a obtenu son doctorat en politique publique de l'Université des sciences et technologies de Hong Kong et sa maîtrise en politique sociale de l'Université chinoise de Hong Kong. Avant son doctorat, elle a travaillé en tant qu'assistante de recherche sur un projet examinant la variation subnationale des attitudes du public envers la politique sociale dans les villes de Chine à l'Université de l'éducation de Hong Kong. Ses recherches les plus récentes explorent les facteurs familiaux, du marché et gouvernementaux qui stimulent la mise en place des soins de longue durée en Chine continentale. Ses intérêts de recherche comprennent la prestation de soins de longue durée, la réforme des soins de santé et les questions de politique sociale liées au vieillissement de la population. Dans ses temps libres, Zilin aime la musique classique, le patinage artistique et les voyages.

Leah Macfadyen, Ph. D., est professeure adjointe au Département d’enseignement des langues et de l’alphabétisation, de la Faculté de l’éducation, à l’Université de la Colombie-Britannique, et directrice adjointe et formatrice au programme de maîtrise en technologie éducative à UBC (met.ubc.ca). Ses diplômes d’études supérieures en sciences expérimentales et en sciences humaines et sociales lui donne une grande interdisciplinarité. Ses premiers travaux de recherche sur l’apprentissage en ligne s’appuyaient sur son intérêt pour les théories de la culture et de la communication interculturelle et étaient motivés par la réalité d’un public d’apprenants de plus en plus diversifié. Plus récemment, la vague croissante de données d’apprentissage saisies par les technologies d’apprentissage et l’émergence du domaine de l’analyse de l’apprentissage l’ont incitée à mettre ses compétences analytiques et scientifiques au service de l’étude de l’apprentissage virtuel. Ses travaux de recherche qualitative et quantitative ont été publiés dans des revues respectées, évaluées par des pairs, dans plusieurs domaines (). Parallèlement, elle a également consacré du temps à élaborer et à enseigner des expériences d’apprentissage expérientielles et (espérons-le) transformatrices sur des sujets tels que la durabilité, la pensée systémique et les problèmes mondiaux.

Elle est inspirée par le potentiel de l’analyse de l’apprentissage pour offrir des informations exploitables concernant nos contextes et pratiques d’enseignement et d’apprentissage : qui sont nos apprenants et comment cela a changé au fil du temps, quels choix font nos apprenants et comment cela influe sur les résultats, et comment les innovations en matière de conception et d’enseignement ont un impact sur le comportement de l’apprenant et les résultats de l’apprentissage. Elle est également désireuse d’engager des chercheurs et des praticiens dans des discussions de fond sur les limites des mégadonnées, le défi de la maîtrise des données, et les implications éthiques et sociales de ce travail.

Miles G. Taylor est sociologue, gérontologue et démographe spécialisée dans les domaines de la santé physique et mentale, des désavantages liés au parcours de vie, du vieillissement de la population et de la dynamique familiale. Un deuxième domaine d’expertise concerne l’application et l’enseignement de méthodologies quantitatives longitudinales pertinentes pour les questions relatives au parcours de vie. Ses travaux de recherche portent principalement sur les processus d’avantage et de désavantage tout au long de la vie et sur leurs implications pour la santé à l’âge adulte. Ses travaux ont été publiés dans Journals of Gerontology: Social Sciences, The Gerontologist, Journal of Aging and Health, et Social Science & Medicine. Ses travaux ont été subventionnés par le National Institute on Aging, Fulbright, le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH), et la Claude Pepper Foundation. Elle a récemment été élue fellow de la Gerontological Society of America (GSA), et a reçu la bourse de recherche Busse 2017 de l’International Association of Gerontology and Geriatrics (IAGG) et le Prix de l’enseignement 2015 de la FSU.