Ć˝ĚŘÎ岻ÖĐ

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L’UniversitĂ© Ć˝ĚŘÎ岻ÖĐ se voit octroyer trois chaires d’excellence en recherche du Canada

Trois scientifiques de renommĂ©e mondiale viennent grossir les rangs de l’UniversitĂ© Ć˝ĚŘÎ岻ÖĐ Ă  titre de titulaires de chaires d’excellence en recherche du Canada et apportent leur expertise en astrophysique transitoire, en rĂ©gĂ©nĂ©ration des poumons de mĂŞme que sur les liens entre le mĂ©tabolisme et le cerveau
±ĘłÜ˛ú±ôľ±Ă©: 16 November 2023

Ce matin, Terry Beech, ministre des Services aux citoyens, a annoncé les résultats du concours de 2022 du Programme des chaires d’excellence en recherche du Canada à l’Université Simon Fraser. L’annonce a été faite au nom de François-Philippe Champagne, ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie, et de Ted Hewitt, président du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) et du Comité directeur du Secrétariat des programmes interorganismes à l’intention des établissements (SPIIE).

Parmi les 34 nouveaux et nouvelles titulaires de chaires d’excellence en recherche du Canada, trois scientifiques ont Ă©tĂ© recrutĂ©s par l’UniversitĂ© Ć˝ĚŘÎ岻ÖĐ. En effet, Darcy Wagner vient grossir les rangs de la FacultĂ© de mĂ©decine et des sciences de la santĂ© Ă  titre de titulaire de la Chaire d’excellence en recherche du Canada en rĂ©gĂ©nĂ©ration des poumons. Jason Hessels se joint Ă  la FacultĂ© des sciences Ă  titre de titulaire de la Chaire d’excellence en recherche du Canada en astrophysique transitoire. Enfin, Dana Small se joint Ă  la FacultĂ© de mĂ©decine et des sciences de la santĂ© Ă  titre de titulaire de la Chaire d’excellence en recherche du Canada sur le mĂ©tabolisme et le cerveau.

Initiative conjointe du Conseil de recherches en sciences humaines, du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie ainsi que des Instituts de recherche en santé du Canada, le fait partie des programmes de recherche les plus prestigieux au monde. D’une valeur de huit millions de dollars sur huit ans, les chaires financent des scientifiques de renommée mondiale et leur équipe, et permettent d’établir des initiatives de recherche ambitieuses au sein d’universités canadiennes.

Collectivement, ces trois nouvelles chaires reprĂ©sentent un investissement de 24 millions de dollars pour la recherche Ă  l’UniversitĂ© Ć˝ĚŘÎ岻ÖĐ.

« Le Programme des chaires d’excellence en recherche du Canada amène au pays des chercheurs et chercheuses de renommĂ©e mondiale qui travaillent au plus haut niveau dans leurs domaines respectifs », a dĂ©clarĂ© Martha Cargo, vice-principale Ă  la recherche et Ă  l’innovation. « L’UniversitĂ© Ć˝ĚŘÎ岻ÖĐ remercie le gouvernement du Canada d’investir dans la recherche de pointe et de renforcer le positionnement du pays comme lieu de formation et d’innovation en sciences de la santĂ© et dans ce domaine d’avant-garde qu’est l’astrophysique. »

PrĂ©cĂ©demment, l’UniversitĂ© Ć˝ĚŘÎ岻ÖĐ s’est vu octroyer trois chaires d’excellence en recherche du Canada dans les domaines de la chimie verte et des mĂ©canismes gĂ©nĂ©tiques de la douleur chez l’humain. Vincent Mooser, titulaire de la Chaire d’excellence en recherche du Canada en mĂ©decine gĂ©nomique, poursuit son mandat Ă  l’UniversitĂ© Ć˝ĚŘÎ岻ÖĐ.

À la fine pointe de la recherche dans des domaines variés

L’UniversitĂ© Ć˝ĚŘÎ岻ÖĐ accueille de nouveau la Pre Dana Small, qui se joint Ă  la FacultĂ© de mĂ©decine et des sciences de la santĂ© Ă  titre de titulaire de la Chaire d’excellence en recherche du Canada sur le mĂ©tabolisme et le cerveau. Dana Small mène des travaux novateurs sur la logique de l’axe intestin-cerveau, notamment son influence sur la santĂ© et les maladies chez l’humain. « La nĂ©cessitĂ© biologique d’optimiser l’acquisition, l’utilisation et le stockage d’énergie constitue un moteur de l’évolution et du comportement du cerveau », explique la professeure. « Cette chaire me donne les ressources nĂ©cessaires Ă  la mise en place d’un programme unique en son genre qui me permettra d’explorer la logique de la relation entre le cerveau et le mĂ©tabolisme. L’objectif ultime est d’expliquer les mĂ©canismes qui relient les maladies neurologiques et mĂ©taboliques. » Dana Small a travaillĂ© au Laboratoire de recherche sur l’alimentation moderne et la physiologie de l’UniversitĂ© Yale et elle est titulaire de diplĂ´mes d’études supĂ©rieures en neurosciences et en psychologie clinique de l’UniversitĂ© Ć˝ĚŘÎ岻ÖĐ.Ěý.

La Pre Darcy Wagner vient, quant à elle, grossir les rangs de la Faculté de médecine et des sciences de la santé à titre de titulaire de la Chaire d’excellence en recherche du Canada en régénération des poumons. Ses travaux novateurs portent sur la mise au point de traitements à base de substances synthétiques indiqués dans des maladies des poumons aiguës et chroniques, respectivement troisième et quatrième cause de décès à l’échelle de la planète. En poste jusqu’à tout récemment au Centre de médecine moléculaire Wallenberg de l’Université de Lund, la Pre Wagner entend tirer parti des avancées récentes dans des disciplines telles que les biomatériaux, la biologie des cellules souches et la biofabrication avancée. Son équipe de recherche mettra au point des techniques de fabrication fondées sur des approches de bio-impression 3D qui auront pour but d’améliorer la précision du processus de production de tissu pulmonaire.

Enfin, le Pr Jason Hessels se joint Ă  la FacultĂ© des sciences Ă  titre de titulaire de la Chaire d’excellence en recherche du Canada en astrophysique transitoire. Ce domaine en pleine Ă©mergence apporte une nouvelle dimension Ă  la comprĂ©hension de l’histoire de la formation des galaxies, des Ă©toiles, des planètes et, au bout du compte, de la vie. « On peut constater, mĂŞme Ă  l’échelle humaine, que l’Univers est en constante Ă©volution », dit le professeur. « Les Ă©toiles meurent dans des explosions de supernovas, les trous noirs engloutissent les gaz qui les entourent et les Ă©toiles de neutrons entrent en collision. Grâce Ă  cette chaire, je compte mettre au jour quelques-uns des Ă©vĂ©nements les plus extrĂŞmes dans l’Univers en observant les changements qui s’opèrent dans le ciel sur des pĂ©riodes qui ne dĂ©passent pas la milliseconde, soit cent fois plus rapidement qu’un clin d’œil. Jason Hessels a travaillĂ© Ă  l’Institut d’astronomie Anton Pannekoek de l’UniversitĂ© d’Amsterdam, et sa nomination marque son retour Ă  l’UniversitĂ© Ć˝ĚŘÎ岻ÖĐ, oĂą il a obtenu son doctorat. .Ěý

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