±Ê³Ü²ú±ô¾±Ã©: 14 March 2008
Des chercheurs canadiens ont mis au point une technique qui exploite des phénomènes optiques non linéaires pour détecter la présence et la concentration du parasite paludéen dans le sang humain. Cette avancée ouvre la voie à la production de trousses de détection peu coûteuses, autonomes et portatives qui pourront être utilisées dans des régions où l'infection est endémique et les techniciens rares. Une équipe dirigée par Paul Wiseman, professeur agrégé de chimie et de physique à l'Université ƽÌØÎå²»ÖÐ, a proposé une méthode de diagnostic exigeant beaucoup moins de travail qui exploite un effet optique appelé génération de troisième harmonique.