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Comment les nouvelles technologies et les médias façonnent-ils la démocratie?

Lancement du nouveau Centre pour les médias, la technologie et la démocratie à l’École de politiques publiques Max Bell l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ
±Ê³Ü²ú±ô¾±Ã©: 20 October 2020

³¢â€™Ã‰cole de politiques publiques Max Bell lance un nouveau Centre pour les médias, la technologie et la démocratie à l'Université ƽÌØÎå²»ÖÐ. En collaboration avec d'éminents chercheurs, penseurs politiques et journalistes, le Centre se consacrera à comprendre l'influence des technologies et des médias émergents sur la démocratie et la vie civique.

« Les bienfaits de la technologie sont indéniables, mais nous en sommes arrivés au point où il est crucial de changer notre manière de gouverner nos médias et notre infrastructure technologique, selon Taylor Owen, directeur du Centre, une voix de premier plan dans la gouvernance technologique au Canada et professeur agrégé à l’École de politiques publiques Max Bell . Notre recherche informera le débat public et les décideurs politiques afin que nous puissions, en tant que société, créer des politiques visant à maximiser les avantages et à minimiser les inconvénients liés à la conception et à l'utilisation des technologies émergentes. »

« Nous croyons au pouvoir du public de se mobiliser en faveur d’un avenir différent et de tenir les gouvernements et les entreprises de technologie responsables face à cet avenir. Il est temps de nous réapproprier collectivement les problèmes que la technologie était censée régler », déclare Sonja Solomun, directrice de la recherche du Centre.

Le Centre s’engage à rendre ses travaux accessibles au plus grand nombre au moyen d’un éventail d’, de et d’ateliers visant à vulgariser la recherche de pointe pour le bénéfice du public et des concepteurs de politiques.

En plus des projets axés sur des questions urgentes telles que la politique de reconnaissance faciale, les enfants et la technologie, la technologie de surveillance, la gouvernance des plateformes et le soutien journalistique, les projets du Centre comprennent :

  • ³¢â€™, quiétudie l’effet de la mésinformation et de la désinformation sur les comportements
  • , qui publiede la documentation visant à aider les décideurs à apprivoiser les nouvelles technologies
  • La , quiexplore les politiques canadiennes concernant les discours haineux en ligne.
  • Une collaboration avec le Centre pour l’innovation dans la gouvernance internationale ,qui élabore des politiques exhaustives sur la gouvernance des plateformes informatiques

« Alors que les initiatives de recherche existantes tendent à se focaliser soit sur les technologies, soit sur les médias et les communications, ce nouveau Centre entend examiner leur impact combiné sur les politiques publiques et la vie civique. Nous sommes heureux de soutenir une entreprise aussi innovante, dont les travaux intéresseront les décideurs politiques et façonneront le débat public », affirme Chris Ragan, directeur de l’École de politiques publiques Max Bell.

Événements de lancement

Inscrivez-vous aux conférences annuelles Beaverbrook présentées par le Centre pour les médias, la technologie et la démocratie, avec Shoshana Zuboff, autrice de The Age of Surveillance Capitalism (), et Cory Doctorow, romancier, activiste et journaliste ().

³¢â€™Université ƽÌØÎå²»ÖÐ

Fondée en 1821 à Montréal, au Québec, l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ figure au premier rang des universités canadiennes offrant des programmes de médecine et de doctorat. Année après année, elle se classe parmi les meilleures universités au Canada et dans le monde.Établissement d’enseignement supérieur renommé partout dans le monde, l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ exerce ses activités de recherche dans deux campus, 11 facultés et 13 écoles professionnelles; elle compte 300 programmes d’études et au-delà de 40 000 étudiants, dont plus de 10 200 aux cycles supérieurs. Elle accueille des étudiants originaires de plus de 150 pays, ses 12 800 étudiants internationaux représentant 31 % de sa population étudiante. Au-delà de la moitié des étudiants de l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ ont une langue maternelle autre que l’anglais, et environ 19 % sont francophones.

/newsroom/fr

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