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Un auditoire mondial aux célébrations du Bicentenaire de ƽÌØÎå²»ÖÐ

L’événement virtuel donne le coup d’envoi des célébrations du Bicentenaire de ƽÌØÎå²»ÖÐ

Des quatre coins du monde, on a rendu hommage au passé et au présent de l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ, le regard résolument tourné vers l’avenir.

La fête virtuelle a attiré des spectateurs de partout dans le monde, et quelques-uns des membres les plus influents de la communauté mcgilloise ont fait une apparition pour adresser leurs meilleurs vœux à l’Université. Parmi les invités, mentionnons les principaux émérites David Johnston, Bernard Shapiro et Heather Munroe-Blum, ainsi que Ram Panda (M. Ing. 1971, MBA 1977), président du Conseil des gouverneurs, et Michael A. Meighen (B.A. 1960, LL. D. 2012), ancien chancelier.

« Depuis sa fondation, en 1821, l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ a formé des générations d’étudiants et est devenue synonyme d’excellence en enseignement et en recherche », a dit le premier ministre Justin Trudeau (B.A. 1994) dans son message. « Je sais que l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ continuera de jouer un rôle important en façonnant notre société et en s’attaquant aux grands problèmes de notre monde. »

Des anecdotes ponctuées de rires

La célébration virtuelle était animée par deux ƽÌØÎå²»ÖÐois d’exception : Laurent Duvernay‑Tardif (M.D. 2018), docteur en médecine, champion du Super Bowl et professionnel de la santé de première ligne, et Heleena De Oliveira (B.A. 2021), étudiante de troisième année à la double majeure en science politique et en anthropologie, et présidente du Réseau des étudiants noirs de ƽÌØÎå²»ÖÐ.

Les coanimateurs ont plaisanté, y sont allés de quelques anecdotes sur leurs études à ƽÌØÎå²»ÖÐ et se sont affrontés lors d’un jeu-questionnaire amical sur l’Université. Laurent Duvernay‑Tardif a raconté que lui et six autres joueurs de ligne offensive de l’équipe de football de l’Université sont restés coincés dans un ascenseur du stade Percival-Molson pendant deux heures, jusqu’à ce que les pompiers viennent les secourir.

« [L’ascenseur] était conçu pour accueillir six personnes, mais nous sommes des joueurs de ligne offensive, alors nous sommes plus lourds [que la moyenne des gens]. L’ascenseur a donc brisé », a raconté, pince-sans-rire, le gaillard de 1,95 m et 145 kg. « Il faisait noir, il faisait chaud, nous étions en sueur… C’était dégoûtant. Depuis, je suis claustrophobe. »

La principale se remémore son passage à ƽÌØÎå²»ÖÐ

La principale Suzanne Fortier (B. Sc. 1972, Ph. D. 1976) a elle aussi raconté des souvenirs du temps où elle était étudiante à ƽÌØÎå²»ÖÐ. « Ouverte, branchée et déterminée… disons que je n’aurais pas utilisé ces mots il y a 50 ans », a répondu la principale lorsqu’Heleena De Oliveira lui a demandé ce qui avait changé à l’Université. « En tout cas, pas dans la mesure où je les utilise aujourd’hui quand je vois tout ce que l’Université fait pour nouer des liens avec des collectivités du monde entier. »

« L’une des choses qui me réjouit et qui me réjouissait déjà quand j’étais étudiante, c’est d’arriver sur les beaux campus de ƽÌØÎå²»ÖÐ et, ici au centre-ville de Montréal, de franchir le portail Roddick, a ajouté la principale Fortier. La raison pour laquelle cela me réjouit, c’est que je me rends compte que la première fois où j’ai franchi ce portail, c’était intimidant. Puis, c’est rapidement devenu exaltant, parce que je me suis rendu compte que ce portail n’était pas une barrière, mais bien une porte vers tout un monde de possibilités. »

À la fin de l’entrevue, la principale Fortier s’est tournée vers l’avenir et a qualifié l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ d’établissement qui « pense et agit dans une perspective mondiale tout en étant ancré dans sa ville, sa province et son pays ».

Elle a également fait l’éloge des étudiants, notamment de leur adhésion aux des Nations Unies. « Quand je vois tout ce qui est réalisé sur nos campus, en particulier toutes les initiatives que lancent nos étudiants, je constate qu’ils sont prêts à façonner et à bonifier l’avenir. C’est formidable de savoir que notre communauté, notre université, participera au projet le plus important de notre planète. C’est ce que nous souhaitons accomplir durant notre troisième siècle d’existence. »

Des félicitations pour les employés et les enseignants

Dans une vidéo narrée par Diana Dutton (Dipl. Étu. sup. 1988, MBA 1989), vice-principale adjointe aux ressources humaines, on a rendu hommage au corps enseignant et au personnel.

« Composée de quatre professeurs et de quelques employés de soutien à ses débuts, notre communauté compte aujourd’hui près de 12 000 personnes, a dit Mme Dutton. C’est elle qui attire des étudiants de haut calibre de partout dans le monde, et qui les guide le long d’un parcours de découvertes et de croissance. »

En plus d’assister aux prestations musicales, les spectateurs de l’événement ont pu entendre les participants du Défi impact200, une compétition où des étudiants et de récents diplômés doivent élaborer des projets porteurs de changements axés sur le développement durable de nos campus, de notre ville et du monde entier.

Dans une courte vidéo, on a également salué l’enracinement profond de l’Université dans la collectivité. Qu’il s’agisse des ingénieurs qui construisent des ponts et des écoles partout dans le monde ou des étudiants qui offrent une variété de services aux Montréalais, des prestations musicales aux soins dentaires gratuits, l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ est au service de la population depuis deux siècles.

Vous pouvez visionner la Fête du Bicentenaire ici :

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