Ìý
Domaine de recherche : Biologie cellulaire
¶Ùé±è²¹°ù³Ù±ð³¾±ð²Ô³Ù : Biochimie
Superviseure :
Ìý
Parle-nous un peu de toi : Je suis Américain, du Connecticut, et je suis arrivé à l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ au baccalauréat. Je suis content d’être venu parce que j’ai acquis une indépendance que je n’aurais pas eue si j’étais resté chez moi. Mon père était généticien et, par coïncidence, j’ai fini par étudier dans le même domaine que lui!
1. Pourquoi as-tu choisi le Centre de Recherche sur le Cancer Goodman?
J’ai choisi le CRCG parce que les travaux qui y sont réalisés me paraissaient intéressants. Lors de mon stage à l’Institut neurologique de Montréal, j’ai aussi pris contact avec le représentant du laboratoire de la Pre Park et notre projet de recherche s’est lancé peu de temps après. La Pre Park m’a permis de plonger directement au cœur du projet – c’est l’une des choses que j’apprécie le plus, sa volonté de nous donner l’espace nécessaire pour nous développer. Elle nous donne aussi accès à d’autres leaders dans le domaine.
- Parle-nous de tes recherches en trois phrases ou moins?
Nos recherches portent sur la biologie moléculaire et cellulaire du récepteur tyrosine kinase et proto-oncogène MET. Nous étudions les fonctions et la régulation dans les cellules normales par rapport aux cellules malignes. Personnellement, je me suis concentré sur la diaphonie entre MET et d’autres récepteurs tyrosine kinases, ce qui est une caractéristique commune des cellules malignes.
- Qu’est-ce qui te passionne le plus dans la recherche?
J’ai toujours aimé me pencher sur des questions difficiles, en particulier en science. À travers la recherche, j’apprends à concevoir des projets, mais aussi à prendre des risques et à penser d’une manière critique. La recherche me mène parfois à des découvertes inattendues qui me forcent à recadrer ma pensée.
Le travail interdisciplinaire est aussi passionnant. Mes collègues et moi appartenons souvent à des domaines différents, mais nous avons un objectif commun : mieux comprendre le cancer. La science est compliquée, c’est pourquoi apprendre les uns des autres à travers nos propres perspectives est si important. En recherche, on dit souvent qu’il faut abolir les barrières entre les disciplines, mais au CRCG, elles n’ont jamais existé. Le centre n’a jamais été ce genre d’endroit. Nous faisons tous partie de la même équipe.
- Quel est ton passe-temps préféré à l’extérieur du laboratoire?
Cela a changé au fil du temps – avant, j’aimais beaucoup jouer au ultimate frisbee. Je faisais partie de l’équipe de ƽÌØÎå²»ÖÐ avant de me casser la jambe! Maintenant, je fais beaucoup de randonnées et j’aime découvrir la nature en sortant de Montréal.
- Quels sont tes futurs projets?
Je voudrais continuer en recherche. J’envisage peut-être de travailler pour des start-ups dans le secteur biomédical commercial. Il y a aussi beaucoup de projets qui m’intéressent dans le domaine de la technologie.
- Qu’est-ce qui va te manquer le plus du CRCG?
Ayant fait partie du CRCG depuis neuf ans, les amis que je me suis faits ici au fil des années vont me manquer. La frontière entre ma vie « étudiante » et ma vie « réelle » est poreuse, parce que les amitiés forgées à l’université sont devenues très importantes pour moi. J’y ai rencontré des gens incroyables!
Ìý
On peut joindre Yaakov via :
Courriel : yaakov.stern [at] mail.mcgill.ca
Linkedin :
Twitter : @TheYCluster
*6 questions est une nouvelle série d’entrevues du CRCG avec nos étudiants-chercheurs, sans lesquels nous ne pourrions faire nos recherches. Nous voulons mettre un visage sur leurs noms en apprenant ce qu’ils font à l’intérieur ainsi qu’à l’extérieur des laboratoires.