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Pourquoi le Canada est l’endroit idéal pour étudier en finance

Les diplômées de la MGF de l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ Laura Santiago et Yayu Xu se remémorent leur séjour à Montréal pendant leurs études à la maîtrise en gestion financière.

Montréal, véritable centre culturel du Canada, a été désignée et attire une population étudiante cosmopolite. La maîtrise en gestion financière (MGF) de la Faculté de gestion Desautels de l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ regroupe des étudiantes et étudiants issus de 30 pays des quatre coins du monde venus profiter de la culture diversifiée, des politiques d’immigration généreuses et d’un marché du travail florissant. Récemment désignée comme le meilleur programme au Canada et classée par QS en 2021 au 17e rang à l’échelle mondiale parmi les maîtrises en finance, la MGF est reconnue pour la diversité, le succès et l’employabilité de ses diplômées et diplômées ainsi que son rapport qualité-prix.

Un endroit de rêve pour les étudiantes et étudiants étrangers

La diplômée de la MGF de l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ Laura Santiago a quitté Bogota, sa ville natale de Colombie, pour emménager à Montréal après être tombée amoureuse du Canada pendant une session d’échange à l’Université de Calgary.

«ÌýDès l’âge de 17 ans, je croyais que la Colombie était trop petite pour moi, affirme-t-elle. J’ai toujours aimé la finance, mais le marché financier en Colombie est très petit. J’y ai travaillé pendant un an, après l’obtention de mon diplôme, mais je sentais déjà que je n’avais plus rien à apprendre. »

Impressionnée par la culture accueillante, respectueuse et diversifiée du Canada, Laura souhaitait faire une maîtrise au Canada après avoir obtenu son baccalauréat et être entrée sur le marché du travail. Ayant pesé le pour et le contre de Montréal et de Toronto, elle a finalement opté pour Montréal, véritable centre culturel du Canada. Elle soutient que le faible coût de la vie et la culture décontractée de la ville ont fait pencher la balance en faveur de Montréal.

La camarade de classe de Laura, Yayu Xu, originaire de Wuhan, en Chine, et diplômée de la MGF de l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ, a vécu une expérience similaire. Après une session d’été à l’Université de Californie, à Berkeley, elle souhaitait ardemment étudier en Amérique du Nord. Yayu s’est tournée vers le Canada, sachant que ses étaient favorables aux personnes diplômées. C’est la réputation de l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ qui l’a attirée vers la maîtrise en gestion financière.

Laura et Yayu ont toutes deux profité du charme de la culture diversifiée et accueillante de Montréal, mais ce qu’elles préféraient se résumait en une activité : déguster des plats sur la scène gastronomique emblématique de Montréal. Qu’il s’agisse des bagels de renommée mondiale de St-Viateur Bagel ou des généreuses assiettes de poutine à La Banquise, la scène culinaire de Montréal était à la hauteur de leurs attentes.

Laura aimait le fait que même sur un autre continent, elle retrouvait des bribes de sa Colombie natale. «ÌýOn trouve des bars et des restaurants latino-américains partout. Où que vous soyez, vous pouvez rencontrer des personnes originaires du Mexique ou de la Colombie, soutient-elle. Montréal est tellement diversifiée. »

Lorsqu’elles sont arrivées à Montréal, Laura et Yayu avaient une connaissance rudimentaire du français, mais elles ont été agréablement surprises du bilinguisme de la ville. «ÌýÀ Montréal, tout le monde parle anglais, mais une personne non anglophone trouvera quand même une façon de se faire comprendre sans problème. » Yayu travaille maintenant à Toronto, le centre financier du Canada. Elle se remémore avec nostalgie son séjour à Montréal : « J’aimais le fait de pouvoir baigner dans la culture francophone en Amérique du Nord. Maintenant que je suis à Toronto, cela me manque. »

Faire partie de la communauté de la Faculté de gestion Desautels

L’une des principales raisons de choisir l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ pour Laura et Yayu était la petite taille des groupes du programme de MGF, soit de 40 à 50 personnes par cohorte. «ÌýOn finit réellement par connaître tout le monde. C’est quelque chose qui m’attirait, car je n’ai pas de famille ici, confie Laura. Je savais que tout le monde serait dans le même bateau et que ce serait plus facile de tisser des amitiés, et de se soutenir mutuellement. »

«ÌýJ’ai vraiment aimé la petite taille des groupes, affirme Yayu. C’était particulièrement important quand les groupes ont été formés à Gestion de capitaux Desautels. Nous devions tous nous connaître et collaborer efficacement. Certains programmes comptent de 100 à 200 personnes, de sorte qu’il est difficile de tisser des liens serrés avec les camarades et le corps professoral. »

«ÌýCe qui rend le programme unique, c’est que beaucoup de personnes qui y sont inscrites ne sont pas nées ici, mais ont immigré au Canada pour étudier ou pour leur carrière. Les gens que l’on côtoie ont une expérience similaire à la nôtre, ajoute Yayu. Ils comprennent les difficultés que l’on peut rencontrer au début, et c’est pourquoi ils n’hésitent pas à offrir leur aide. C’est un point positif pour les étudiantes et étudiants étrangers. »

La petite taille des groupes facilite aussi le réseautage avec les diplômés et diplômées. Les cohortes étant limitées à une quarantaine de personnes, Laura et Yayu ont pu rencontrer des étudiants et étudiantes qui sont passés par là. « La cohorte précédente nous a transmis ses connaissances, et nous avons tenté de faire la même chose à notre tour auprès de celle de cette année », explique Laura.

Bâtir sa carrière au Canada

Avec l’aide d’un réseau de diplômés et diplômées tissé serré et grâce au , qui leur permet de travailler au Canada jusqu’à un maximum de trois ans après l’obtention de leur diplôme, Laura et Yayu ont pu lancer leur carrière dans les villes florissantes que sont Montréal et Toronto.

Laura voulait trouver un emploi au Canada et s’était fixé cet objectif dès le premier jour. Elle a été la première de sa classe à s’engager dans ce processus et a pu transmettre ses connaissances à ses pairs, qui ont à leur tour fait le grand saut en bâtissant leur carrière au Canada. L’expérience de Laura en tant qu’analyste financière à Gestion de capitaux Desautels dans le cadre du programme de MGF l’a aidée à se préparer à son poste actuel d’associée de recherche sur les actions à Jarislowsky Fraser, à Montréal, l’une des plus grandes sociétés de gestion de placements au Canada.

L’objectif initial de Yayu était simplement d’obtenir son diplôme, mais elle a rapidement pris conscience des nombreuses possibilités qui s’offraient à elle au Canada.

«ÌýL’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ m’a donné accès à un tout nouveau monde. J’ai pu améliorer ma compréhension des marchés financiers canadiens et me créer un réseau au Canada, explique-t-elle. Je pense qu’il est vraiment important de profiter des ressources dont nous disposons et de tirer profit du réseau de diplômés et diplômées dans les grandes villes comme Montréal et Toronto. »

À la suite de conversations avec une amie diplômée du MBA, elle est parvenue à décrocher deux stages à la Banque Scotia à Toronto, ce qui l’a menée à un poste à temps plein de gestionnaire des actifs et des passifs pour le service de trésorerie de la Banque.

Yayu explique : «ÌýJe me sens choyée de pouvoir lancer ma carrière dans un poste important à la Banque. Je n’y serais peut-être pas parvenue si j’avais étudié en Chine. Je me sens grandement soutenue à Toronto, où j’ai pu rencontrer des diplômés et diplômées de l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ avec qui j’ai noué de précieuses relations. »

Laura et Yayu soutiennent que les ressources offertes par la Faculté de gestion Desautels les ont aidées à décrocher leur emploi.

«ÌýJe suis très reconnaissante du soutien offert par l’équipe de gestion de carrière, affirme Yayu. Elle m’a permis de découvrir quel secteur financier correspondait le mieux à ma personnalité, à mes aptitudes et à mes intérêts. Quand j’ai réalisé que la finance d’entreprise était le domaine qui me convenait le mieux, l’équipe m’a aidée à chercher des diplômées et diplômés dans le secteur et à entrer en contact avec eux. J’ai connu des hauts et des bas tout au long de ma recherche d’emploi, mais je suis très reconnaissante d’avoir reçu ce soutien tout au long de mes démarches. »

«ÌýJ’ai reçu beaucoup d’aide de l’équipe de gestion de carrière pour décrocher mon emploi et me préparer aux entrevues, ajoute Laura. Il faut tirer parti des outils offerts par l’Université : le bureau international, le personnel administratif, le corps professoral et la bibliothèque. Ils sont tous formidables. »


En savoir plus sur la MGF

La maîtrise en gestion financière (MGF) de l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ est un programme spécialisé de 12 ou 16 mois n’exigeant pas d’expérience de travail préalable.

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