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Chercheur principal: | Ìý |
Shaheen Shariff, Ph.D., est professeure agrégée à l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ et une experte internationale en ce qui a trait à l’établissement de politiques sociolégales relatives à la communication en ligne, à la cyberintimidation, à la vie privée, à la diffamation et au harcèlement criminel. Sa recherche et son travail sont grandement ancrés dans l’étude du droit, qui influence les politiques éducationnelles, la pédagogie et la pratique. Elle siège au comité exécutif de Jeunesse, J’écoute et fait de la recherche pour le centre de recherche Innocenti de l’UNICEF, en Italie. Elle a été invitée à participer à un panel des Nations unies traitant de la cyberhaine, présidé par le Secrétaire générale Ban Ki Moon et a élaboré des outils pour les enseignants, en collaboration avec l’UNESCO, l’ACDI, et l’Institut international de planification de l’éducation. Ses recherches ont été publiées sur le colloque en ligne du Centre du Premier amendement des États-Unis. Elle est la principale chercheuse dans cinq projets nationaux et internationaux collaboratifs sur la cyberintimidation et la citoyenneté numérique, financés par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH). Elle révise également les projets de recherche au CRSH. Elle a participé à des conférences internationales comme la Conférence du centre national contre l’intimidation (NCAB) à Melbourne, Australie, en avril 2010 ; la Conférence ExBus à Copenhague, en 2009 ; et la conférence COST sur la cyberintimidation à l’Université de la Sorbonne, à Paris, en juin 2012. Elle a publié des articles révisés par les pairs à l’American Education Research Association (AERA) (San Francisco, Chicago, New York), à la Conférence sur l’apprentissage à Grenade, Espagne et à l’Institut de la recherche sur l’Internet à l’Université Oxford, au Royaume-Uni. Ses livres et ses articles sont lus par des chercheurs et le grand public partout à travers le monde. Parmi ceux-ci, on compte des livres publiés chez des éditeurs de premier plan, dont (1) Cyber-bullying: Issues and solutions for the school, the classroom, and the home, chez Routledge (Taylor & Francis Group, Royaume-Uni); et (2) Confronting Cyber-bullying: What schools need to know to control misconduct and avoid legal consequences, aux Presses de l’Université Cambridge, New York (deuxième édition en cours de publication). Comme sa recherche le montre, elle s’intéresse aux réactions, aux règlements, et à la criminalisation de la liberté d’expression des jeunes en ligne. Elle cherche aussi à éduquer les enseignants et la communauté juridique à propos de la recherche empirique et juridique. |
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Co-Investigators: |
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Jamshid Beheshti est professeur agrégé et ancien directeur de l’École des sciences de l’information de l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ. Il a aussi été nommé vice-doyen de la faculté des sciences de l’éducation et doyen intérimaire de la faculté à ƽÌØÎå²»ÖÐ. Dr. Beheshti a été chercheur principal et co-chercheur pour 14 projets financés par le CRSH, le dernier étant Virtual Environments as an Intervention Agent in the Information-Seeking Process of School Students. Ses domaines de spécialité sont l’interaction entre humains et ordinateurs et le comportement dans la recherche de l’information. |
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Dr. Mary Hall is the director of Safe Schools Manitoba. She received her BA from the University of British Columbia and her MA and PhD from Simon Fraser University. She has taught in the faculties of education at Simon Fraser University and the University of Winnipeg. She has also taught and served as an adjunct professor at the University of Manitoba. Two of her courses – “The Use of Discretion in Administrative Decision-Makingâ€; and “Bullying in Schools: Issues and Interventions†are highly relevant to the current research study. In addition to her work at Safe Schools Manitoba, she is an educational reviewer for the Canadian Journal of Educational Administration and Policy (CJEAP). |
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Prof. Victoria Talwar est professeure agrégée au département de psychopédagogie et de psychologie de l’orientation à l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ. Depuis 1997, Talwar a entamé la recherche sur le développement socioaffectif des enfants. À l’heure actuelle, ses projets sont financés par le CRSH (2005-2008; 2008-2011 comme cochercheuse, 2006-2009, 2009-2012, 2012-2016 comme chercheuse principale), la Fondation canadienne pour l’innovation (2008-2012) et la Fondation des sciences naturelles (2007-2012 comme cocandidate). Elle a fait de la recherche sur le développement affectif des enfants (plus précisément sur les mensonges et la dissimulation chez les enfants, l’intimidation, et l’empathie) et ses relations aux facteurs sociocognitifs (c’est-à -dire, le fonctionnement social et la compréhension des émotions) qui contribuent aux comportements adaptatifs et moraux des enfants. En 2006, elle a reçu le Prix du nouveau chercheur du Président de la Société canadienne de psychologie et, en 2009, elle a reçu le Prix de contributions de recherche au développement de la Société de recherche et développement. |
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Shauna Van Praagh est professeure de droit à l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ et membre de l’Institut de droit comparé de ƽÌØÎå²»ÖÐ depuis 1993. Elle donne un cours d’obligations extracontractuelles et un cours avancé sur les obligations de la Common Law. Parmi les autres cours donnés, on compte : la diversité sociale et la loi, les enfants et la loi, les fondements de la loi canadienne et la méthodologie juridique en recherche aux cycles supérieurs. Sa recherche et ses publications visent plusieurs domaines : les droits des enfants, le droit et la littérature, l’histoire juridique, l’éducation et le droit, ainsi que les communautés religieuses. Anciennement l’assistante du très honorable Brian Dickson, juge en chef du Canada, elle a étudié à l’Université de Toronto (B.Sc., LL.B.) et à l’Université Columbia (LL.M., J.S.D.). La professeure Van Praagh a été vice-doyenne des études supérieures de la faculté de droit de l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ et s’implique beaucoup dans le Centre pour les droits de l’homme et du pluralisme légal de ƽÌØÎå²»ÖÐ ainsi que dans le Centre Paul-André Crépeau de droit privé et comparé. Ses publications récentes incluent : ‘Sois sage’ – Responsibility for Childishness in the Law of Civil Wrongs, dans J. Neyers, E. Chamberlain et S. Pitel, éds., Emerging Issues in Tort Law (Oxford: Hart Publishing, 2007); “Adolescence, Autonomy and Harry Potter: The Child as Decision-Makerâ€, (2005) 4(1) Int’l Journal of Law in Context 335-373 (Presses de l’Université Cambridge). |
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Core Team: |
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Nelofar Sheikh est une professionnelle de la santé qui se spécialise en nutrition. Elle a œuvré dans le domaine de la santé en recherche. Nelofar est douée en gestion de projets, a une organisation solide et des qualités de chef de file incomparables. Ayant des aptitudes en configuration, en gestions et en codage de base de données et de sondages, elle élabore aussi des questionnaires et écrit de l’analyse descriptive. Nelofar a démontré ses qualités d’enseignante, de chercheuse, de réviseure, de conférencière et d’auteure, tout en faisant preuve de bonne communication, de réseautage efficace et de représentation adéquate. Elle a de l’expérience en consultation en tant que nutritionniste dans des pays en voie de développement et est très efficace au sein d’une équipe multiculturelle. Connue comme une personne dévouée et minutieuse, Nelofar s’occupe de la gestion des projets financés par Facebook et le CRSH pour Définir la frontière. Elle élabore aussi des questionnaires pour les sondages en ligne et s’occupe de la gestion, de l’encodage et de l’analyse de données dans Nvivo. |
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Alyssa Wiseman est assistante de recherche dans le domaine juridique pour Définir la frontière. Elle a obtenu un diplôme de premier cycle en psychologie à l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ et poursuit ses études à la faculté de droit de ƽÌØÎå²»ÖÐ. Elle apporte un regard unique sur la cyberintimidation, celle-ci étant reliée au développement moral des enfants et à la compréhension des responsabilités juridiques. Alyssa a contribué au développement des projets de recherche de Définir la Frontière en collectant et en analysant des données qualitatives et quantitatives. Elle a travaillé en tant que bénévole avec des enfants dans le cadre du programme d’intervention du Centre d’éducation juif Bronfman et espère appliquer son savoir et sa passion pour l’avenir des enfants au sein de Définir la frontière. |
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Arzina Zaver is a 2nd-year PhD student with the Department of Integrated Studies in Education at ƽÌØÎå²»ÖÐ. She has a Masters in Arts and Masters in Teaching from the Institute of Education, UK. Arzina is interested in exploring teacher identity, particularly in the context of religious education and teacher neutrality. Arzina has over 5 years of experience as a teacher and strives to bring student and teacher voice to the forefront in issues around faith, third space and lived experience. She recently joined the Define the Line team as a research assistant, helping to create resource guides for educators and examining how implications of cyberbullying, social media and youth development result in educational and legal policy changes. Arzina loves exploring new cities and has visited over 20 countries! |
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Laura Crestohl est une étudiante de deuxième année à la faculté de droit de l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ. Elle détient un baccalauréat en communications de l’Université Concordia et une maîtrise en études sur les médias de New School à New York. Ses champs d'intérêt sont : le croisement entre la culture, la technologie et la loi, la propriété intellectuelle, la vie privée et la responsabilité civile. Elle a travaillé comme auxiliaire d’enseignement, réalisatrice et responsable des médias sociaux. Elle fait de la recherche pour Définir la frontière et s’occupe des comptes de DLF sur les réseaux sociaux. |
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Ashley DeMartini came to DTL by her shared interests in multicultural education, popular culture and media. She is DTL's Administrative Assistant. Ashley began her doctorate program at ƽÌØÎå²»ÖÐ in September 2013. Her current research interests concern human rights education and teacher professional development. |
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Yanick Touchette est candidat à la maîtrise en science politique à l’Université de Montréal. Ses champs d'intérêt sont l’économie politique internationale et les relations internationales environnementales. Il détient un diplôme en journalisme au collégial, ce qui l’a conduit à un stage de trois mois au Chili, où il a été journaliste en politique et en nouvelles quotidiennes. Il a complété un baccalauréat spécialisé en développement international à ƽÌØÎå²»ÖÐ en 2011. Il est assistant de recherche pour Définir la frontière depuis mars 2012 et se penche sur les lois encadrant la cyberintimidation dans les provinces canadiennes. |
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Azrah Talib est traductrice pour Définir la frontière. Elle a acquis de l’expérience en traduisant des documents administratifs pour des pouponnières. Elle a terminé ses études au Collège Charlemagne et a reçu le trophée d’excellence pour son projet sur le pluralisme et les jeunes enfants. Azrah travaille pour Définir la frontière depuis l’été 2012 et aide à la traduction d’articles vers le français et au réseautage avec les jeunes pour les sondages. |
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Nima Naimi is a legal research assistant and the marketing coordinator for Define the Line. He holds a B.Com from ƽÌØÎå²»ÖÐ, an L.L.B. from UQÀM and is currently enrolled at the École du Barreau du Québec. He has been involved with Define The Line since its inception and has done legal research in the Cyberbullying field for the past 6 years. He has presented his research at conferences in North America and Europe, including the World Council of Comparative Education Societies XIV World Congress in Istanbul, Turkey. His research centers around the civil and criminal implications of Cyberbullying around the world. |
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Past Team Members: | Ìý |
Le professeur Michael Manley-Casimir de la faculté d’éducation de l’Université Brock a récemment pris sa retraite. Il a été directeur du centre de recherche Tecumseh des Premières Nations. Il a commencé sa recherche en tant qu’enseignant à Kelowna, en Colombie-Britannique, pour ensuite devenir directeur adjoint d’une école secondaire à Ashcroft. Il a complété une maîtrise professionnelle aux cycles supérieurs, à l’Université de Colombie-Britannique et a fait un doctorat à l’Université de Chicago. En 1974, il s’est joint à la faculté d’éducation de l’Université Simon Fraser et est devenu doyen de la faculté d’éducation de l’Université Brock en 1998. En 2004, il a obtenu un diplôme de deuxième cycle en droit à la faculté de droit de l’Université de Colombie-Britannique et a écrit un mémoire sur la signification de la « liberté de conscience » dans la Charte canadienne des droits et libertés. Les intérêts de recherche du professeur Manley-Casimir sont au croisement du droit et des politiques en éducation. En carrière, il a collaboré avec plusieurs collègues sur des projets de recherche et a obtenu plus de 750 000 dollars en subventions de recherche, dont quatre bourses du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada. Il a reçu le Prix pour service distinctif de l’Association canadienne de recherche sur l’administration des écoles pour son travail universitaire et pragmatique dans ce domaine, ainsi que le Prix de mentorat du Comité canadien des étudiants en éducation pour son implication auprès des étudiants des cycles supérieurs. De plus, il a reçu des Prix d’enseignement de la part de l’Université Simon Fraser et de l’Université Brock. |
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