Bien que des études menées au début de la pandémie aient donné à penser que la vitamine D réduisait le risque de contracter la COVID-19, des chercheurs de l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ concluent à l’absence de preuve génétique d’un quelconque effet protecteur contre le coronavirus.
SelonÌýle professeur au département de physiologie de l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ John White, la vitamine D ne constitue pas un remède miracle pour un patient sévèrement atteint par la COVID, mais le chercheur croit que son apport à un niveau suffisant fournit probablement une certaine protection. «ÌýLa vitamine D peut agir de deux manières sur l’immunité, explique-t-il.
La plus vaste étude jamais entreprise pour étudier la génétique de l’´Ç²õ³Ùé´Ç±è´Ç°ù´Ç²õ±ð et le risque de fracture a démontré que seulement deux des facteurs examinés, la densité minérale osseuse (DMO) et la force musculaire, avaient un lien de cause à effet avec le risque de subir une fracture liée a l’´Ç²õ³Ùé´Ç±è´Ç°ù´Ç²õ±ð, un problème de santé majeur qui touche plus de neuf millions de personnes dans le monde, chaque année.
Par Fergus Grieve, ƽÌØÎå²»ÖÐ Salle de Presse
Les suppléments favorisent le développement de la masse musculaire chez les nourrissons
Un apport suffisant de vitamineÌýD pendant la première année de vie favoriserait l’accroissement de la masse musculaire et la diminution de la masse graisseuse chez les tout-petits, selon une nouvelle étude publiée dans PediatricÌýObesity.
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De faibles taux de vitamine D augmente significativement le risque d’apparition de la sclérose en plaques (SEP), d’après une étude dirigée par le Dr Brent Richards, de l’Institut Lady Davis de l’Hôpital général juif, et publiée dans la revue PLOS Medicine. Ce résultat, fruit d’une analyse de répartition aléatoire mendélienne sophistiquée, confirme une hypothèse de longue date voulant qu’un faible taux de vitamine D soit fortement associé à une augmentation de la susceptibilité à la SEP. Ce lien est indépendant des autres facteurs associés à de faibles taux de vitamine D, comme l’obésité.
La prise d’un supplément de calcium pouvant aller jusqu’à 1 000Ìýmg par jour peut prolonger la durée de vie chez la femme, selon une étude dont l’auteure en chef est LisaÌýLangsetmo, associée de recherche doctorale à l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ, et l’auteur principal est le professeur David Goltzman, de la Division d’endocrinologie et métabolisme du Département de médecine de la Faculté de médecine de ƽÌØÎå²»ÖÐ et chercheur à l'Institut de recherche du Centre universitaire de santé ƽÌØÎå²»ÖÐ (IR-CUSM) sur l'axe des troubles musculo-squelettiques. Les résultats de leurs travaux ont fait l’objet d’un article publié dans le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism.Ìý