L’itinérance coûte cher aux Canadiens, mais l’argent dépensé pourrait être beaucoup mieux investi. D’après une nouvelle analyse dirigée par des chercheurs de l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ, il est financièrement plus avantageux de trouver un logement stable aux sans-abri vivant avec des troubles mentaux graves qu’à ceux qui ont des besoins modérés. Une stratégie axée sur l’accès à un logement permanent pour ces personnes génère des économies équivalant environ aux deux tiers de son coût.