Un bond prodigieux pour ƽÌØÎå²»ÖÐ au palmarès universitaire Times Higher Education
Des changements méthodologiques permettent de souligner l’ampleur de la diversité internationaleÌýparmi les étudiants et les professeurs
L’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ, située à Montréal, au Québec, est passée en 2011 de la 35e à la 28e place au sein du très réputé classement universitaire mondial Times Higher Education (THE). Plus tôt cette année, l’Université a obtenu le 17e rang au palmarès mondial QS, en hausse comparativement à la 19e place l’année précédente.
« Ces brillants résultats indiquent que ƽÌØÎå²»ÖÐ continue de figurer parmi les meilleures universités au monde, a mentionné la professeure Heather Munroe-Blum, principale et vice-chancelière. Nous sommes honorés qu’une telle marque de reconnaissance nous soit attribuée et continuerons à tout mettre en Å“uvre pour atteindre les normes d’excellence les plus élevées dans nos activités d’enseignement et de recherche, afin de conserver notre place. »
« Les palmarès figurent parmi les nombreuses références que les étudiants, professeurs et employés consultent afin d’évaluer leur lieu d’études ou de travail. S’il est vrai que différents classements mesurent différents aspects du rendement, une haute performance saluée de manière continue par diverses organisations est sans contredit un indicateur sérieux. »
« Invariablement, ƽÌØÎå²»ÖÐ s’est démarquée par ses réalisations, ce dont nous sommes très fiers », a ajouté la principale Munroe-Blum.
Pour la huitième année d’affilée, ƽÌØÎå²»ÖÐ a été classée au rang des 25 meilleures universités au monde selon le palmarès QS. Il y a deux ans, les organisations QS et Times se sont divisées, faisant place au classement THE, au sein duquel ƽÌØÎå²»ÖÐ se retrouve pour la deuxième fois.
Le classement THE tient compte de 13 critères dans cinq vastes champs d’activité : enseignement, revenus issus de l’industrie, mentions, travaux de recherche et portée internationale.
Cette année, parmi les modifications apportées à la méthodologie utilisée pour la mise au point du classement THE, mentionnons un accent accru sur la portée internationale et la proportion d’étudiants et de professeurs étrangers. Environ 20 % des étudiants mcgillois viennent de l’extérieur du pays, soit le taux le plus élevé parmi les universités de recherche au Canada. De plus, dans le cadre du processus de renouvellement de son corps professoral amorcé en 2000, l’Université a recruté 1 002 nouveaux professeurs titulaires d’un poste menant à la permanence. De ce nombre, 586 – ou près de 60 % – viennent de l’étranger.
« L’engagement de ƽÌØÎå²»ÖÐ quant à la conclusion de partenariats internationaux et à la réalisation d’activités à portée internationale est entier. L’Université est parfaitement outillée pour préparer ses étudiants à vivre et travailler au sein d’une société sans cesse transformée par la mondialisation, où recherches et interactions occupent une place toujours plus importante, et où cultures et origines s’intègrent les unes aux autres afin de permettre l’échange d’idées et d’expériences, à partir desquelles sera façonné le monde de demain », a conclu la principale et vice-chancelière.
À propos de l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ
Fondée à Montréal, au Québec, en 1821, l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ est l’institution canadienne chef de file en enseignement postsecondaire. L’établissement compte deux campus, 11 facultés, 11 écoles professionnelles, 300 programmes d’études et au-delà de 36 000 étudiants, dont 8 300 aux cycles supérieurs. L’Université attire des étudiants originaires de plus de 150 pays, de même qu’au-delà de 7 200 étudiants étrangers qui représentent 20 pour cent de son corps étudiant. La langue maternelle de près de la moitié des étudiants mcgillois – dont font partie 6 200 francophones – est autre que l’anglais.
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