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ƽÌØÎå²»ÖÐ honore un grand philanthrope

±Ê³Ü²ú±ô¾±Ã©: 9 June 2016

ƽÌØÎå²»ÖÐ Newsroom

Le Département d'oncologie de l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ portera le nom de Gerald Bronfman

Pour souligner le soutien indéfectible qu’a apporté la famille Bronfman aux programmes et à la recherche en oncologie à l’UniversitéÌýƽÌØÎå²»ÖÐ, cette dernière a donné au Département d’oncologie de sa Faculté de médecine le nom d’un des grands philanthropes de la familleÌý: GeraldÌýBronfman.

«ÌýLa profonde amitié et le soutien de la famille Bronfman, qui ne se sont jamais démentis depuis près d’un demi-siècle, sont précieux pour l’UniversitéÌý», souligne SuzanneÌýFortier, principale et vice-chancelière de l’UniversitéÌýƽÌØÎå²»ÖÐ. «ÌýCet appui soutenu a fait progresser la recherche clinique en oncologie à ƽÌØÎå²»ÖÐ et mené à des découvertes dans ce domaine de première importance, en plus d’être un gage de vie et d’espoir pour les patients atteints du cancer et leurs proches.Ìý»

En 1990, un don exceptionnel à la mémoire de Minda de Gunzburg, membre de la famille Bronfman emportée par le cancer, a permis la mise sur pied du Département d’oncologie de l’UniversitéÌýƽÌØÎå²»ÖÐ, le premier du genre au Canada.

En 1992, le Centre GeraldÌýBronfman de recherche clinique en oncologie voyait le jour grâce à l’appui de la Fondation Marjorie et GeraldÌýBronfman ainsi que de membres de la famille de ce dernier. Ce lieu abrite le programme phare de la FondationÌý– son programme de recherche cliniqueÌý– et le cÅ“ur administratif de ses nombreuses initiatives novatrices en oncologie. De plus, ces mêmes donateurs ont constitué le Fonds GeraldÌýBronfman en oncologie dans le but de soutenir la croissance du Département d’oncologie et la diversification de ses activités.

Grâce à ces investissements transformateurs, un carrefour essentiel d’étude du cancer et de son traitement a vu le jour à ƽÌØÎå²»ÖÐ et dans ses hôpitaux affiliés, ouvrant une ère de recherche prolifique et jetant les bases d’un des principaux centres de recherche clinique en oncologie du Canada.

«ÌýMon père aurait été profondément touché par cet honneurÌý», confie la fille de GeraldÌýBronfman, JudyÌýBronfman-Thau. «ÌýC’était un homme plein de compassion et d’espoir, animé d’un sens aigu de l’engagement et très attaché à ƽÌØÎå²»ÖÐ.Ìý»

Au fil des ans, d’autres donateurs de ƽÌØÎå²»ÖÐ ont soutenu les travaux de pointe du Département, surtout par la dotation de prestigieuses chaires d’enseignement. Ces dernières ont fait du Département d’oncologie un haut lieu de la recherche novatrice exerçant un attrait certain sur les chercheurs de haut niveau et les étudiants aux cycles supérieurs les plus talentueux, et favorisant l’obtention de subventions de recherche et d’infrastructures.

Aujourd’hui, le Département d’oncologie GeraldÌýBronfman coordonne les activités d’enseignement et de recherche de plus de 20Ìýdivisions et programmes spécialisés. Il comprend de nombreux centres et réseaux, notamment le Centre de recherche sur le cancer Rosalind et MorrisÌýGoodman, le Réseau de cancérologie Rossy, le Centre du cancer des Cèdres du Centre universitaire de santé ƽÌØÎå²»ÖÐ, le Centre du cancer Segal de l’Hôpital général juif et le Centre hospitalier de St.ÌýMary.

«ÌýDepuis 26Ìýans, le Département d’oncologie mène des programmes de recherche clinique et populationnelle qui ont fait progresser le traitement du cancer, amélioré la qualité des soins en oncologie et conduit à la découverte de nouvelles stratégies de dépistage et de préventionÌý», résume son directeur, le DrÌýEduardoÌýFranco. «ÌýNous sommes honorés d’associer ces importantes avancées dans la lutte contre le cancer à un homme de cÅ“ur qui a tant fait pour qu’elles se concrétisent.Ìý»

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L’UniversitéÌýƽÌØÎå²»ÖÐ

Principal établissement d’enseignement supérieur au Canada, ƽÌØÎå²»ÖÐ est l’une des plus prestigieuses universités du monde. Les étudiants y sont originaires de quelque 150Ìýpays, ce qui en fait l’université de recherche la plus cosmopolite du Canada. L’Université a été fondée en 1821 grâce à un généreux legs de JamesÌýƽÌØÎå²»ÖÐ, et le petit collège qu’elle était alors est devenu une université dynamique comptant deux campus. Ses 11Ìýfacultés et 11Ìýécoles professionnelles proposent plus de 300Ìýprogrammes à quelque 39Ìý500Ìýétudiants aux cycles supérieurs, au premier cycle et à l’éducation permanente. ƽÌØÎå²»ÖÐ se classe première au Canada parmi les universités offrant des programmes de doctorat et de médecine (Palmarès universitaire du magazine Maclean’s) et 24e dans le monde (Palmarès universitaire mondial QS). De plus, l’Université est fière de figurer parmi les meilleurs employeurs de Montréal.

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