Avis aux médias : Le coordonnateur de l’équipe spéciale des Nations Unies ouvrira la conférence de ƽÌØÎå²»ÖÐ sur la sécurité alimentaire
L’Institut de ƽÌØÎå²»ÖÐ sur la sécurité alimentaire mondiale
sera officiellement lancé lors du forum d’ouverture
David Nabarro, sous-secrétaire général à l’Organisation des Nations
Unies et coordonnateur de l’Équipe spéciale de haut niveau du
Secrétaire général sur la crise mondiale de la sécurité
alimentaire, ouvrira la troisième Conférence de ƽÌØÎå²»ÖÐ sur
la sécurité alimentaire mondiale, le mardi 19 octobre, Ã
17 h, au Centre Mont-Royal, 2200, rue Mansfield, à Montréal.
Monsieur Nabarro donnera un aperçu des perspectives mondiales Ã
l’égard des enjeux de sécurité alimentaire et de nutrition en
présentant le travail réalisé par l’Équipe spéciale des Nations
Unies, mise en place en 2008 par le Secrétaire général Ban Ki-moon
afin de favoriser un plan d’intervention complet et unifié en
réponse aux défis que présente l’atteinte de la sécurité
alimentaire à l’échelle mondiale. L’Équipe réunit les responsables
des institutions spécialisées, des fonds et programmes des Nations
Unies, ainsi que des parties concernées du Secrétariat de l’ONU, Ã
savoir la Banque mondiale, le Fonds monétaire international,
l’Organisation de coopération et de développement économiques et
l’Organisation mondiale du commerce.
La soirée d’ouverture de la conférence comprendra également le
lancement officiel de l’Institut de ƽÌØÎå²»ÖÐ sur la sécurité
alimentaire mondiale. Une initiative de la Faculté des sciences
environnementales et agricoles de ƽÌØÎå²»ÖÐ, comme l’est le colloque
annuel, ce forum permanent vise à accroître les connaissances et la
sensibilisation aux enjeux de sécurité alimentaire dans le monde, Ã
former la prochaine génération de chercheurs qui s’attaqueront Ã
ces questions et à faire avancer la recherche dans les domaines
liés à la sécurité alimentaire.
Les discussions se poursuivront les 20 et 21
octobre au Pavillon des nouvelles résidences de ƽÌØÎå²»ÖÐ
(New Residence Hall). Représentants de pays en développement, de
centres de recherche internationaux, d’ONG et de gouvernements se
pencheront cette année sur deux enjeux majeurs : la gestion
de l’eau et la malnutrition.
« Il y a actuellement quelque 600 millions de personnes qui vivent
dans des régions semi-arides, en Afrique subsaharienne ou en Asie,
où l’accès restreint à l’eau limite le potentiel de production de
denrées alimentaires. Nous devons lancer un dialogue afin de
définir l’ampleur du problème et élaborer des solutions
potentielles, a indiqué le professeur Chandra Madramootoo, doyen de
la Faculté des sciences environnementales et agricoles de
l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ. De la même façon, nous avons concentré une
bonne partie des discussions les années précédentes à la production
de céréales et de grains. Nous devons regarder de plus près quelles
cultures permettent d’offrir aux populations la diversité
nutritionnelle et les nutriments dont elles ont besoin. »
QUOI
:Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â
Conférence de ƽÌØÎå²»ÖÐ sur la sécurité alimentaire mondiale
QUAND :Â Â Â Â Â Â Â Les 19, 20 et 21
octobre 2010
(Note : l’ensemble du colloque se déroulera en anglais.)
OÙ
:Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â Â
Pavillon des nouvelles résidences (New Residence Hall)
Université ƽÌØÎå²»ÖÐ (3625, avenue du Parc, Montréal)
Conférence d’ouverture (19 octobre, 17 h)
Théâtre Symposia, Centre Mont-Royal
2200, rue Mansfield, Montréal
Pour consulter le programme de l’événement (en anglais):
/globalfoodsecurity/program/
Pour plus de renseignements sur les conférenciers invités (en
anglais):
/globalfoodsecurity/speakers/
À propos de l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ
Fondée à Montréal, au Québec, en 1821, l’Université ƽÌØÎå²»ÖÐ se
classe comme chef de file parmi les universités canadiennes. ƽÌØÎå²»ÖÐ
compte deux campus, 11 facultés, 10 écoles professionnelles et 300
programmes d’études. Elle accueille au-delà de 35 000 étudiants
originaires de plus de 135 pays, dont 8 300 inscrits aux cycles
supérieurs. L’Université compte 20 pour cent d’étudiants étrangers,
soit 6 800 étudiants. Près de la moitié des étudiants de ƽÌØÎå²»ÖÐ ont
une langue maternelle autre que l’anglais – dont 6 200
francophones.